BD, Tome V, Notes historiques et météorologiques sur la paroisse d’Usson et ses environs. – Communication de M. Alphonse de Saint-Pulgent., pages 256 à 264, La Diana, 1890.

 

Notes historiques et météorologiques sur la paroisse d’Usson et ses environs. – Communication de M. Alphonse de Saint-Pulgent.

M. E.. Brassart, au nom de M. Alphonse de SaintPulgent, dépose sur le bureau le travail suivant :

« Le hasard m’a fait rencontrer, au milieu de papiers de famille, un petit registre in-4° contenant, mêlés à des recettes de ménage (cuisine et médecine), des renseignements curieux sur les récoltes, la température et l’histoire d’Usson pendant la première moitié du XVIIIe siècle.

« Ces notes sont anonymes; mais, en tenant compte de certains détails biographiques donnés par l’auteur, je suis porté à les attribuer à Jacques Mey de Chales, un de mes grands parents.

Ce qui est écrit dans cette page et celle derrière, je l’ai tiré d’un mémoire que j’ai lu par hasard dans une maison de ce lieu d’Usson.

« Le 2c novembre 1649, la grande cloche d’Usson fut faite par M05 Pardon et Antoine Mounier, fondeurs de Viverols (1). Elle pèse cinquante quintaux.

« Le 31 octobre .1654, la grande cloche d’Usson fut refaite par ME5 François et René Marchal, fondeurs Lorrains, et pèse quarante-huit quintaux.

« Le 24 novembre 1654, la petite cloche fut refaite par les susdits fondeurs Lorrains. Elle pèse quatorze quintaux. Nota c’est la troisième cloche.

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(1) Viverols, chef-lieu de canton (Puy-de-Dôme).

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« Le 2e jour du mois d’août 1702, sur deux heures après midi, la grêle tomba autour d’Usson et dans le lieu d’une façon si extraordinaire et il tomba ensuite une si grande abondance d’eau, que jamais on a parlé d’un si étrange ravage que les eaux et la grêle ont fait dans cette paroisse d’Usson et le voisinage, par le démolissement des moulins et des maisons qui étaient le long de Champdieu et de la rivière d’Ante et de là jusqu’à la rivière de Loire. Ce qui a causé des pertes et des dommages qu’on ne saurait estimer ni croire et qui sont en plusieurs endroits irréparables. En sorte qu’on a ne saurait jamais croire les choses extraordinaires que ce malheur put causer, que nos péchés nous ont attiré.

« En l’année 1694, il est mort de misère un grand nombre de pauvres pour la cherté du blé. Le carton de blé, mesure de ce lieu, s’est vendu jusqu’à six livres cinq sols. Les pauvres étaient contraints de manger de l’herbe comme les bêtes. Il en mourut une quantité prodigieuse dans la plus grande partie du royaume.

« Dans ce temps là les impôts étaient excessifs. On imposait toutes sortes de taxes sur les arts et métiers, gens d’église, officiers royaux et subalternes « .

– En l’année 1709 et la nuit du jour des Rois 6 janvier, il commença à geler si fort que tous les blés, froment et seigle furent gâtés. Les noyers crevèrent, tous les arbres à noyaux et une partie des poiriers. Le blé fut extraordinairement cher à la fin du mois de mai. Le froment valut dix livres le bichet, le seigle sept livres, l’orge six livres ou sept livres, les pesettes six livres, les pois haricots sept à huit livres, les truffes quarante sols.

L’année a été si dérangée qu’il n’a cessé de pleuvoir jusques au 10 juin, que toutes les rivières furent débordées. La pluie a duré jusqu’à la moisson des tremois qui ont été bien grenés. Un bichet d’orge dans les bons fonds a produit 30 et 40. Sans ce miracle de la Providence qui a bien voulu si fort multiplier les tremois, il serait mort de faim une partie du pays.

– En 1714, au commencement de juin, la maladie épidémique s’est manifestée sur les bestiaux : dans le Forez, Lyonnais et provinces voisines, presque tous les beeufs, vaches, taureaux et génisses ont péri.

J’ai tiré cette note du livre journal de Me Jean-Baptiste Joanin, conseiller du Roy, lieutenant de la châtellenie royale de Saint-Galmier, mon aïeul maternel.

Le Seigneur veuille nous préserver et nos neveux de pareils malheurs !

– En 1747 et 1748, la plaine du Forez perdit tous ses bestiaux par une maladie qui les attaquait. Il y eut beaucoup de gens qui perdirent jusqu’à trois fois leurs bestiaux.

– Les blés gelèrent en 1749, année que je me mariai ; il gela à Lyon le jour de l’Ascension, la veille et le lendemain ; il y faisait un grand froid. J’y étais avec femme (1), mon beaufrère le curé de Marlhes (2) et ma belle-seeur. Le 9e juin suivant il tomba à Usson et dans cette montagne beaucoup de neige qui renversa tous les blés et les enterra en partie ; ce malheur joint à la gelée précédente enleva presque toute la récolte. Elle fut au moins très modique dans toute la montagne.

Le 28 juin de la même année, veille de St-Pierre, il fit aussi beaucoup de neige et gela très fort. Je faisais ce jour là des procès-verbaux en qualité d’officier de l’élection dans les paroisses de St-Pal, St-Julien d’Ante, Boisset, etc (3). La neige et le froid m’obligèrent deux ou trois fois dans la journée de m’arrêter dans des villages pour me chauffer.

– L’année suivante 1750, les grains furent extrêmement chers dans la province. Je vendis mon blé jusqu’à cinq livres cinq sols le carton, mesure d’Usson.

Malgré la cherté des grains, il ne mourut, grâces à Dieu, personne de misère.

– En 1753, il y a eu dans l’élection de Montbrison une augmentation de 53.000 livres sur les tailles, M. Rossignol étant intendant qui est mort à Lyon au mois de février 1754.

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(1) Très probablement Catherine Boet de l’Arzallier.
(2) (N). Boet de Lacombe, dont le portrait et conservé au château de Combes, commune de Montverdun.
(3) Saint-Pal de Chalancon, Boisset-les-Tiranges, communes, canton de Bas, et Saint-Julien d’Ance, commune, canton de Craponne (Haute Loire).

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– Il y a eu aussi augmentation en 1754 et en 1755, savoir en 1754 de 4000 livres, et de 3000 livres en 1755.

– Le vendredi 23 juillet 1756, à cinq heures du soir, M. PaulFrançois Rochette, bachelier de Sorbonne, curé d’Usson depuis 1729, [est mort] après une longue maladie de près de dix-huit mois. C’était un homme de beaucoup d’esprit, d’un caractère extrêmement vif, mais très porté à obliger. Il a fait construire à ses dépens le presbytère dans l’état où il est actuellement. Il a aussi construit à ses frais les deux sacristies, le corridor qui conduit de l’une à l’autre, la chapelle dédiée à Saint-Symphorien, a donné lebel ostensoir et le reliquaire d’argent et tous les ornements les plus beaux. Il a contribué de ses soins et de ses fonds à la construction de la chapelle vis à vis celle de Saint-Symphorien. Jamais on n’a vu un homme plus résigné aux ordres du Tout-Puissant, souffrir avec plus de tranquillité les longues douleurs de la maladie d’éthisie qui l’a mis dans le cercueil. Cette paroisse regrettera avec justice ce digne pasteur, et moi un ami qui me chérissait. J’ai été chargé de l’exécution de ses plus secrètes volontés et j’ai fait tout ce qui a dépendu de moi pour les remplir. Le cimetière était autour de l’église. Dans les derniers mois de sa maladie, ce curé, qui ne pensait qu’à la décoration de la maison de Dieu et à sa décence, vint à bout de procurer à la paroisse l’emplacement du nouveau cimetière, fit enlever la plus grande partie de la terre de l’ancien pour la mettre dans le nouveau à ses frais, et je fis finir après sa mort son entreprise avec les fonds qu’il me laissa pour cet objet. Son intention était de faire d’autres réparations dans l’église pour achever de l’embellir, si le Seigneur ne l’eût pas appelé à lui. Dieu veuille récompenser le zèle qu’il a eu pour sa maison ! Il était de Craponne.

– Le 28 juin 1757, mardi veille des saints apôtres Pierre et Paul, à une heure après midi, la grêle est tombée pendant une demi-heure avec tant d’abondance, accompagnée d’un si grand vent, que l’entière récolte des environs d’Usson, L’Ermet, Epinasses, Salétes, La Borie, Perrigot, Fromentier, La GrangeNeuve et la Grange-Vieille a été perdue quant aux blés et avoines. Les prés ont été beaucoup endommagés, de sorte qu’on a perdu au moins le quart des foins. Dans les villages de Chalanconnet, Bouleine, Tessonière, Mons, Truchard, Epinassoles (1), Joanzec, Fontaneille, Les Fonds, Fraisse, Belvisis et le Pontempeyrat, qui sont dans le Forez, le mal n’a pas été si considérable et la perte de la récolte n’est guères que de la moitié. Les villages de la paroisse qui sont en Auvergne n’ont pas souffert, à part Chouvet, Penigaud, Pallebranche, Fromentiers, les deux Grange, La Garde et un peu la Breure. Dans notre domaine de Chouvet, le granger a été obligé de faucher tous les blés des Houches et les autres, excepté environ ceux de dix cartonnées, de sorte que toute la récolte de ce domaine s’est réduite aux seules semailles tout au plus.

– Le mardi second jour du mois d’août, même année 1757, jour de Notre-Dame des Anges, la foudre est tombée sur les sept heures du matin sur un mai qui avait été planté devant la porte de notre maison. Le mai fut brisé en plusieurs éclats, la génoise (2) du couvert auprès du mai fut rompue, la porte d’entrée fut brisée en partie, trente-deux carreaux de vitres aussi rompus. La foudre se divisa en trois boulets : l’un dans le galetas, l’autre dans le corridor des chambres et le troisième dans celui du plain-pied. Heureusement personne n’a été blessé. Deux de nos domestiques se trouvèrent, l’une dans le galetas et l’autre dans le corridor du bas, entourées du feu sans en ressentir les atteintes. Nous ne devons jamais oublier la grâce que Dieu a bien voulu nous faire de nous conserver dans cette occasion si dangereuse, grâce qu’il n’a pas accordée à bien d’autres que nous avons su avoir été écrasés par la foudre. A l’Aussonne (3), paroisse du diocèse du Puy, une maison a été brûlée par la foudre et un enfant dedans; trois personnes écrasées à Saint-Didier (4) par le même accident.

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(1) Aujourd’hui commune de Saint-Pal de Chalancon.
(2) En Forez, on nomme génoise, une corniche qui est faite de rangs alternés de briques et de tuiles creuses, qui est placée sous les égouts du couvert des maisons et dont la saillie dépasse souvent 0m 50.
(3) Laussonne, commune, canton du Monastier (Haute Loire).
(4) Le département de la Haute-Loire possède trois localités du nom de Saint-Didier, toutes trois chefs-lieux de commune nous ignorons à laquelle se rapporte l’accident mentionné.

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A Paris, cinq maisons incendiées de même. La reconnaissance d’une grâce si particulière, nous a engagés de former la résolution de faire dire chaque année une messe à laquelle toute la maison assistera, le second du mois d’août, en l’honneur de la Sainte Vierge, mère de Dieu, pour la remercier de sa protection et la supplier de la continuer. J’invite mes enfants qui me succéderont d’entrer dans mes vues de gratitude et de continuer de faire dire cette messe ce même jour.

– En 1758, j’ai fait donner à la paroisse d’Usson, côté de Forez, 2200 livres de diminution de principal impôt. L’Auvergne n’a pas été diminuée.

– Le vendredi, 30 juin 1758, à la pointe du jour, il a gelé si fort qu’il y avait de la glace dans tous les endroits où l’eau ne coulait pas ; les blés seigle tremois ont été entièrement emportés par cette gelée dans le tènement de Lermet et le long de Chandieu dans cette paroisse d’Usson. Et même les blés hivernaux ont été beaucoup endommagés dans ces mêmes endroits. A Combreaux, paroisse de Merle, et en remontant le long de l’Andable jusqu’a Estivareilles, les blés seigles tremois ont été entièrement perdus et les seigles hivernaux ont aussi souffert. Les vieillards de quatre-vingts ans ne se sont pas rappelé d’avoir vu une gelée si forte dans une saison aussi avancée.

Dans mon domaine de Combreaux, il y a des blés hivernaux pour sept plongeons si fort gelés, qu’il n’y a pas d’apparence qu’il soit resté le quart du grain. Pour les tremois, ils ont été entièrement perdus dans ce domaine.

Cette gelée a causé un dommage inestimable. Toute cette montagne, dans les lieux même où l’on ne pensait pas que la gelée eut gâté les blés hivernaux, a réellement et considérablement souffert.

– J’ai fait continuer à cette paroisse d’Usson, côté de Ferez, la plus grande partie de la diminution que je lui avais procurée l’année dernière. Elle a eu encore 1710 livres de diminution.

– J’ai fait continuer, en 1760, 900 livres de la susdite diminution à la paroisse.

– En 1761, j’ai fait continner 500 livres de diminution à la paroisse.

– En 1762, j’ai fait continuer 400 livres.

– La gelée en 1760 a causé une perte considérable dans les blés hivernaux dans les lieux bas et humides ; elle vint la nuit du 23 au 24 mai.

– Le jour de Pâques 1760, 6 avril, est décédé M. Jacques Joseph Boyer de la Salle, curé d’Usson, successeur de M. Rochette. Il est mort des obstructions qu’il avait sous l’estomac et dans le foie, et a souffert pendant un an de grandes douleurs avec beaucoup de résignation. Il était curé de Saint-Pal et fut nommé par les Bénédictins de la Chaise-Dieu à la cure d’Usson. Il avait été curé à Nonette (1) et permuta avec la cure de Saint-Pal. Il était de Viverols.

– Le mardi, 130 jour du mois de janvier 1761, la maison des soeurs de Saint-Joseph de ce lieu d’Usson a été, à l’exception de l’écurie et du grenier à foin au dessus, totalement incendiée, sans que les soeurs aient eu le temps de soustraire aux flammes leurs meubles et effets. Cet accident est arrivé sur le midi et est venu de la chambre où couchaient les filles qui restaient chez lesdites soeurs.

– M. Antoine Pergier, bachelier en théologie, né à Craponne (2) a pris possession de la cure d’Usson le mardi de Pâques huit avril 1762, sur la nomination des Pères de la Chaise Dieu, et ensuite a repris possession en vertu de la résignation que lui avait faite Me Boyer. Il était vicaire dans la parroisse depuis le mois de mai 1749.

– Le jeudi 28 juin 1764, veille de Saint Pierre, la grêle est tombée dans la paroisse d’Usson, seulement dans la partie du Forez ; elle a ravagé toute la récolte dans tout ce qui est du Forez à l’exception des hameaux de Lermet, Boulène, Tessonnières et Chalanconnet.

– Il a gelé très fort les 27, 28, et 29 septembre 1764, et la nuit du 29 au 30 dudit mois il est tombé plus d’un demi pied de neige, ce qui a paru si surprenant, que les vieillards les plus âgés assurent n’avoir jamais plus vu autant de neige dans cette saison.

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(1) Nonette, commune, canton de Saint-Germain-Lambron (Puy-de-Dôme).
(2) Craponne, chef lieu de canton (Haute-Loire).

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– Me Pergier, curé d »Usson, est décédé le mercredi,-13e janvier 1779, à une heure et quart après midi, d’une maladie qui ne l’a tenu au lit que trois jours et qu’il a sans doute contractée au service des malades qui ont été en très grand nombre cette année, attaqués de fièvre putride maligne. Ledit Me Pergier s’est distingué par beaucoup de zèle pour la paroisse, l’instruction des enfants et les prônes qu’il faisait régulièrement tous les dimanches à la première messe et à la grande messe, par ses aumônes, l’assiduité au confessionnal ; il m’a institué son héritier pour que je fisse, après avoir payé ses dettes et les legs qu’il a fait, une rente en faveur des pauvres de la paroisse du restant de son hoirie.

Me Pergier a laissé la note suivante que j’ai trouvée dans ses papiers et que je transcris ici.

« Il y a eu dans cent ans neuf curés à Usson, savoir :

Me Poncetton en 1661, 6 ans.

Me Galiard en 1666, 5 ans.

Me Roux en 1670, 12 ans.

Me Dufour en 1682, 23 ans.

Me Delesgallery en 1727, 2 ans.

Me Rochette en 1729, 27 ans.

Me Boyer de la Salle en 175e, 4 ans.

Me Pergier en 1760; a été curé depuis le 8 avril 1760 qu’il a pris possession jusqu’au 13 janvier ‘1779 qu’il est mort, pendant 18 ans, 9 mois, 5 jours.

« M. Pergier qui a fait l’état des oommuniarits de la paroisse d’Usson (1) en 1761 a laissé par écrit qu’il y avait pour lors de communiants, savoir :

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(1) Avant 1789 la paroisse d’Usson appartenait par moitié au Forez et à l’Auvergne, elle était en entier du diocèse du Puy. Le prieur claustral de la Chaise-Dieu nommait à la cure.
Dans la réponse faite en 1697 par le curé d’Usson à l’enquête de l’intendant d’Herbigny on lit : « Toute la paroisse est composée de 52 hameaux, dont il y a 21 dans la partie qui est en Forez, savoir : Usson, Lermet, Tessonnières, Aboleine [Boleine], Chalanconnet, Aurelle, Daniec, le Montiel, Roche, Mons, Saiettes, Epinasses, Truchart, la Borie, Fontaneilles, le Besset, Joanzee, les Fonds, Epinassoles, 4’raisse et le :Pontempérat s. (Archives du Rhône, série C, :ne 2, folio 102).

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Dans le bourg d’Usson, côté de Forez

222

Dans le bourg côté d’Auvergne, la Chapelle (1) comprise

125

Dans les hameaux du Forez

734

Dans ceux d’Auvergne

944

 

2025

« I1 a ajouté qu’à la Toussaint 17E0 et à Pâques 1761, 22 mars, il y avait de communiants absents, à la scie ou ailleurs, quatre cent cinquante cinq ».

– M. Joseph Chassaignon, de Saint-Bonnet-le-Château en Auvergne, (2) a été nommé à la cure d’Usson par les révérends pères bénédictins de la Chaise-Dieu. Il a pris possession de la cure le 2 février 1779 et a succédé à MTe Antoine Pergier décédé le 13 janvier précédent.

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(1) La Chapelle-en-Lafaye, commune, canton de St-Bonnetle-Château (Loire). La paroisse, quoique située en Forez, dépendait avant 1789 du diocèse de Clermont.
(2) Saint-Bonnet-le-Chastel, commune, canton de Saint-Germain-l’Herm (Puy-de-Dôme).

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