BD, Tome LXIV, EXCURSION ANNUELLE Du 3 septembre 2005, Compte rendu par Mme Claude Beaudinat, pages 283 à 297, La Diana, 2005.

 

EXCURSION ANNUELLE Du 3 septembre 2005

DROITURIER, CHATEAUMORAND, MONTAIGUET et LA PALICE

Compte rendu par Mme Claude Beaudinat

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Diane est sans contredit la femme la plus illustre, ou bien, si on aime mieux, la plus connue du pays de Forez

Jean de Châteaumorand est inconnu, Diane a résisté à l’oubli populaire.

 

Chanoine Reure ( Le Roannais illustré . n° 3. 1887-1888).

 

Est-ce pour les charmes de Diane, ou pour les hauts faits de son ancêtre Jean, que quelque deux cents personnes ont participé à cette sortie annuelle ?

Pour éviter une arrivée trop massive à Châteaumorand, il fut décidé que les dianistes ayant opté pour le car visiteraient l’église prieurale de Droiturier de 10h à 10h45.

 

Droiturier

Madame Givelet, guide fort érudite, nous offrit une visite complète (intérieur et extérieurs) du monument, inscrit à l’I.S.M.H. depuis 1935 grâce aux efforts de l’Association pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Droiturier.

Le village s’est formé autour d’un prieuré bénédictin, « fille » de l’abbaye de Mozac (près de Riom en Auvergne) qui fut fondée vers 681 par saint Calmain et sainte Namadie, (le corps de Saint Austremoine y fut déposé en 764 par Pépin-le-Bref). L’église du prieuré de Droiturier est romane, des XIe et XIIe siècles. Elle est sous le vocable de saint Nicolas dont la légende est célèbre, et dédiée à la Sainte Croix. La façade fut rebâtie au XVe siècle, en retrait par rapport à la précédente, englobant ainsi dans la maçonnerie deux colonnes de la nef dont les chapiteaux sont forts intéressants par leur charge symbolique : sur l’un est sculpté l’arbre de vie, sur l’autre un singe cordé. Ce dernier, que l’on trouve dans de nombreuses églises romanes d’Auvergne (Brioude, Glaine, Orcival, Saint-Nectaire, Thuret, etc…) symbolise l’homme esclave de ses passions, qui doit sortir de sa matérialité, devenir un homme éveillé. L’arbre de vie permet cette transformation. A Droiturier nous avons deux chapiteaux pour transmettre ce message, à Brioude un chapiteau a, sur le même entablement, l’arbre de vie et le singe cordé.

Les trésors de l’église sont multiples : statue de saint Nicolas en bois polychrome doré et argenté du XVe siècle, chapelle de la Sainte-Vierge à l’exceptionnel décor de peintures murales en trompe-l’œil du milieu du XVIIIe, statue de sainte Catherine d’Alexandrie, tableau de l’exaltation de la Sainte Croix , deux baptistères, etc…

A l’extérieur, nous avons remarqué les restes d’une litre blanche faisant le tour du monument, l’appareillage des pierres, le four à pain, les restes du prieuré encore à restaurer.

 

Châteaumorand

Des myriades de cyclamens roses ont envahi les pelouses du « Castrum Morandum », formant un écrin de charme à ce haut lieu de la chevalerie.

Dès 1260 on trouve mention d’un Jean de Châtelus, seigneur de Châteaumorand, vassal du comte de Forez. Sans que l’on puisse déterminer leur filiation exacte, citons Eustache de Châtelus-Châteaumorand (mort en 1287), Hugues (mort en 1292), Jean (mort vers 1303), Guichard marié à Jeanne de Bourbon-Montperroux, mort avant 1335.

C’est à partir de Hugues de Châtelus-Châteaumorand (1325-1398), fils du précédent, que s’illustre cette lignée. Au XIVe siècle, les Châteaumorand sont vassaux du comte de Forez, du duc de Bourbon, du duc de Bourgogne et du sire de Beaujeu pour l’enceinte du château jusques aux anciens fossés . Ils avaient rang de chevaliers bannerets, c’est-à-dire qu’ils avaient un fief avec au moins cinquante vassaux leur permettant de lever bannière… ce que n’ignorait pas Victor Hugo : Savez-vous, Phoebus, cela me rappelle le beau temps, l’entrée du roi Charles VII. C’était bien beau, une procession de tous les gentilshommes de France, avec leurs oriflammes ! … Le sire de Calan, à pennon ; Jean de Châteaumorand, à bannière ; le sire de Couci, à bannière. ( Notre-Dame de Paris ).

Hugues de Châteaumorand eut, de son épouse Guillemette de Sennecey, trois enfants : Guichard, Jean et Béatrix et, par-ci par-là, quelques bâtards… ce qui explique peut-être son ardente piété (proportionnelle aux péchés ?) et ses nombreuses donations aux ordres religieux.

Les Châteaumorand, à partir de 1366, vivront dans la mouvance des ducs de Bourbon.

Nous n’allons pas retracer leur histoire, le chanoine Reure l’ayant étudiée scrupuleusement. On peut aussi consulter avec profit Jean Froissart, Juvénal des Ursins, Christine de Pisan, le Religieux de Saint-Denis, O. Troubat, etc…

Les trois Châteaumorand – Hugues et ses deux fils Guichard et Jean – sont les symboles de la chevalerie française : loyauté, vaillance, fidélité, respect de la femme, protection des faibles (veuves et orphelins), défense de la foi et de l’Eglise, tel était leur idéal, parfois poussé à l’extrême ! Le parfait chevalier devient, au XIVe siècle, sous l’influence des trouvères et troubadours et des romans de chevalerie, un héros de légende, capable des plus grandes folies pour prouver sa valeur, notamment lors des tournois. L’idéal de l’amour courtois se transforme, la prouesse remplace la maîtrise de soi et s’achemine vers un idéal raffiné mais moralement très libre :

Servants d’amour, regardez doucement

Aux échaffauts anges de paradis :

Lors jouterez fort et joyeusement,

Et vous serez honorés et chéris.

Grand Tournoi de mai 1389 à Saint-Denis, sous Charles VI.

 

( J.J.E. Roy : Histoire singulière de la Chevalerie . Ed. Jean de Bonnot, 1996)

 

Hugues et ses deux fils, surtout Jean, essaieront toute leur vie d’atteindre cet idéal chevaleresque, leurs traques et expéditions n’avaient pas d’autres buts. Guichard y laissa la vie lors de la croisade contre le roi de Tunis en 1390.

Jean de Châteaumorand, ami du célèbre sire de Coucy, Enguerrand VII (mort en 1397), à l’orgueilleuse devise : Roy ne suis, ne prince, ne duc, ne comte aussi : je suis sire de Coucy , peut être considéré comme le plus grand chevalier du Forez. Ses exploits débutèrent à quinze ans, ses expéditions le menèrent du Poitou au Valais, de l’Auvergne à la Bretagne , de l’Espagne à l’Angleterre, de la Barbarie à Constantinople, etc… Début 1381, il s’illustra dans un célèbre tournoi à outrance entre chevaliers français et anglais à Vannes, il y fut blessé par félonie, Buckingham lui offrit un hanap d’or pour faire pardonner ce coup de meschief qui déshonorait la chevalerie anglaise.

Il était l’ami d’un autre prestigieux chevalier Bertrand du Guesclin. A ses côtés, il participa à l’expédition du Poitou pour en chasser les Anglais en 1372. Il l’accompagna encore, avec neuf autres gentilshommes du Forez et du Bourbonnais, à Châteauneuf de Randon, où mourut le connétable en 1380.

Son plus haut fait de guerre fut sans doute la mission que lui confia Charles VI auprès du sultan ottoman Bayazid 1er après la défaite de l’armée chrétienne à Nicopolis le 25 septembre 1396. Il traita avec succès la délivrance et la rançon des prisonniers. Mais le sultan Bayazid menaçant Constantinople, l’empereur Manuel II Paléologue demanda aide et secours au roi de France. Ce dernier lui envoya le maréchal Boucicaut et Jean de Châteaumorand avec mille deux cents combattants en juin 1399. En décembre de la même année Boucicaut, Manuel II et la plus grande partie de l’expédition quittèrent Constantinople pour, soi-disant, aller quérir d’autres secours en Europe. Châteaumorand, avec le titre ronflant de capitaine pour le roi de France en la ville et cité de Constantinople , dut défendre la place avec seulement cent hommes d’armes, cent varlets (jeunes nobles placés en service auprès d’un seigneur pour faire l’apprentissage de la chevalerie) et des arbalétriers. Il tint jusqu’en juillet 1402, à cette date Tamerlan battit Bayazid et le fit prisonnier. Châteaumorand revint en France en août, ayant tenu trois ans la ville de Constantinople face aux armées ottomanes. Son rôle fut certes admirable, mais seule l’intervention du Khan des Tartares, Tamerlan, fut décisive… Bayazid mourut en 1403.

Quelle fut la vie privée sentimentale de ce chevalier forézien ? Les tentations sont nombreuses sur les routes d’Espagne ou du Moyen-Orient ! Il faut se comporter en chevalier : respecter la femme, défendre la veuve et l’orphelin…

En 1380 – il a environ 25 ans – il épouse Isabelle de Semur. Vingt six ans après il s’aperçoit qu’elle est stérile et la répudie. Nous ne ferons pas de commentaires ! La descendance étant à assurer, il épouse Marie de Frolois, en 1407, qui lui donnera un fils Louis mort à 12 ans et une fille Agnette qui continuera la lignée par son mariage avec Brémond de Lévis.
A partir de 1484, les Châteaumorand bénéficient des bienfaits du cardinal François de Tournon, grâce au mariage de Jacques de Lévis-Châteaumorand avec Louise, sœur du cardinal. Leur fils Jean sera grand seigneur à la cour de François 1er, mais n’aura pas de postérité. C’est son frère Antoine, élevé avec grand soin sur les conseils du cardinal, qui va hériter du château alors qu’il est évêque de Saint-Flour.

Antoine vivait à Châteaumorand, beaucoup en homme du monde et peu en évêque. Il protégea Jean Papon dans son ascension sociale.

Vers 1520, Jean de Lévis-Châteaumorand avait fait commencer d’importants travaux qui furent continués sous Antoine : le château fut complètement restauré dans le style Renaissance, influencé par l’Italie. Les nouvelles constructions furent assises sur les fondations médiévales et un terre-plein remplaça le pont-levis.

Le château passa à Gabrielle de Lévis, cousine d’Antoine. De son mariage avec Antoine Le Long de Chenillac, en 1558, naquirent un fils mort en bas âge et une fille : Diane née en 1558.

A Diane, riche héritière, furent attribués toutes les qualités et tous les défauts. Ce fut une femme très convoitée sinon aimée. Mariée à seize ans à Anne d’Urfé, qui en avait dix neuf, elle pouvait espérer une union heureuse, ce qui ne fut pas. Son mariage fut déclaré nul en 1598. Elle épousa Honoré d’Urfé en 1600, elle avait quarante deux ans et lui trente deux. On le prétendit amoureux d’elle depuis son premier mariage avec Anne, or il avait six ans ! Les doutes sont permis. Ne l’épousait-il pas plutôt pour maintenir son riche héritage dans la maison d’Urfé. ?

Signalons le passage à Châteaumorand, les 3 et 4 octobre 1619 du cortège de Christine, fille d’Henri IV, qui allait rejoindre son mari Victor-Amédée, prince de Piémont. La suite comprenait Saint-François de Sales, la duchesse de Vendôme, l’abbé de Hautecombe, le grand prieur de Vendôme, madame de Saint-Georges, etc… Le soir du 4, dans la salle à manger, on parla de l’Astrée, n’en doutons pas, roman des plus chastes qui soient . Sans postérité, Diane, par testament, légua ses biens à son « neveu » Jean-Claude de Lévis.

A partir de 1750, un descendant, Charles de Lévis, fit commencer des embellissements importants : l’architecte Caristie démolit les tours du nord, rasa les bâtiments du midi et éleva sur les fondations une grande façade à la Mansard avec corniche et balustrade en attique.

Ce château, l’un des plus beaux du Forez dans son cadre boisé très romantique, appartient depuis 1877 à la famille Maridet. Chacun prit un intense plaisir à s’attarder et rêver sous les ombrages, les pieds dans les cyclamens et la tête dans les étoiles…

 

Montaiguët

Le repas eut lieu sous les frondaisons du parc du château à l’invitation de Madame Dessert, propriétaire des lieux. La Diana avait déjà visité le bourg lors de la sortie du 19 août 1987. On en lira le compte-rendu dans le bulletin n° 4 tome L.

Le repas, sous forme de buffet, fut excellent, mais dont l’organisation a été toutefois quelque peu dépassée par le nombre de convives.

 

La Palice

Ce même 19 août 1987, les adhérents visitèrent le château de La Palice. A voir l’excellent compte-rendu dans le bulletin ci-dessus mentionné.

 

Conclusion

En 1987, Jean Bruel écrivait en conclusion : Ainsi s’achève notre excursion avec un nombre record de participants excédant deux cents… Le questionnaire distribué permettra, nous l’espérons, d’envisager au mieux les sorties ultérieures.

Ces paroles restent entièrement valables pour 2005.

Il faudra envisager des solutions. Le grand nombre d’inscrits pose des problèmes : restauration, fluidité des groupes de visite et soucis légitimes des propriétaires qui ouvrent avec tant de bienveillance leur demeure.

Terminons ce voyage avec Silvandre, le berger, dont les stances nous semblent pouvoir s’appliquer aussi à Diane de Châteaumorand :

L’esté, c’est le transport dont le sang me bouillonne,

Et l’hyver, c’est la peur qui me gelle en tout temps.

Mais que me vaut cela, si toujours mon automne

Est sans fruits aussi bien que sans fleurs mon printemps ?

Honoré d’Urfé : L’Astrée . Livre II. Edition Vaganay, 1926.

 

Ont participé à l’excursion :

Mme Yvonne André, comte et comtesse Philippe d’Assier, Mme Jeannine Astier, M. et Mme Daniel Baby, MM. Bernard Barrieux, Fernand Barrot, Hervé Béal, Mlle Sandrine Béal, Mme Claude Beaudinat, M. Robert Bergeron, M. et Mme Jean Berthéas-Canty, Docteur et Madame Michel Bertholon, M. et Mme Antoine Blanc, Danielle Bory, M. le Professeur et Madame Laurent Boyer, Mmes Thérèse Brat, Martine Brossier, Melle Michelle de Bruignac, MM. Yves Bruyas, François Cateland, M. et Mme Pierre Cerisier, comte de Chabannes, Mme Joëlle Chalancon, comtesse de Charpin-Feugerolles, Mme Michèle Charlot, Mme Marie Chartre, M. et Mme Maurice Chaslot, M. et Mme Joël Chazal, Roger Chazal, M. et Mme André Chéramy, M. Denis Chevalier, M. et Mme François-Régis Christophe, M. et Mme Claude Collardelle-Laforge, M. et Mme Pierre Combat, Melle Annabel Cornillon, M. et Mme Jean-Paul Cortial, M. et Mme Jean Croizier, M. Edouard Crozier, M. et Mme Jean-François David de Sauzéa, M. Claude Déal, Maître et Madame Michel Déalberti, M. et Mme Pierre Demathieu, Anne-Marie Demulsant, Mmes Andrée Deschamps, Madeleine Desportes, M. Michel Desseignès, Mmes Dessert, Jeannine Douplat, Gabrielle Dubanchet, M. et Mme Régis Duboeuf, Mme Bernadette Ducreux, M. et Mme René Dupuis, Mlle Yvonne Dupuy, M. Jean-François Etaix, M. et Mme Frédéric Farizon, M. et Mme Roger Faure, M. et Mme Jean-Claude de Fay de La Roche , Mme Béatrice de La Fontaine , M. et Mme Michel Galletti, M. Florian Galletti, Melle Ombeline-Marie Galleti, M. et Mme Yves Gallice, M. et Mme Justin Galtier, M. Jacques Genevois, M. et Mme Daniel Genthialon, M. Stéphane Gerey, M. et Mme Bernard Gérossier, Mme Michelle Girard, M. Aimé Giraud, Mme Paulette Giraud, M. Jean Guillaume, Mme Claudette Guillot, M. Jean Guillot, M. et Mme Jean-Pierre Gutton, Mme Lise Hildebrand, M. et Mme Jean Julien-Laferrière, M. et Mme Ivan Jullien de Pommerol, M. Jean-Paul Lafond, M. et Mme Jean Laurent, M. et Mme Claude Le Connétable, M. et Mme Guy Le Conte, M. Edouard Lejeune, M. et Mme Roger Liénard, M. et Mme Macey, M. Jean-Pierre Malleval, M. et Mme Paul Mansat, M. et Mme Claude Marchal, Amiral et Madame Maridet, Mme Josette Martin, M. Patrice Mathey, vicomte et vicomtesse Maurice de Meaux, Mme Gabrielle Michon, M. et Mme Pierre Minot, M. Jean-Paul Monchanin, M. et Mme Joseph Monier, Mmes Marie-Rose Moulin, Jeanne Morvan, Gabrielle Mure, M. Claude de Nomazy, Mme Chantal Nourissat, M. et Mme Paul Ollier, M. Daniel Palmier, M. et Mme Robert Perret, Maître et Madame Philippe Petit, Mme Andrée Peyer, M. Daniel Poinson, M. Jean-Marc Pons, M. et Mme Pierre Pouzeratte, MM. Philippe Pouzols-Napoléon, Stéphane Prajalas, M. et Mme René Pralas, Mme Marie Preynat-Courbon, M. et Mme Paul de Robert-Hautequère, Mme Yves de Robert-Hautequère, M. et Mme Robert Rodriguez, M. et Mme Serge Romagny, M. et Mme Bernard Sabatier, Melle Anne-Sophie Sabatier, Melle Anne Saby, M. et Mme Jean-Claude Saby, M. François-Régis Saby, M. et Mme Nicolas Saby, M. Jérôme Sagnard, M. et Mme Jean-François Say, Mme Maryse Seguin, M. et Mme Peter Stap, Mme Yvonne Tatu, M. et Mme Marcel Thévenon, M. et Mme Marc Thiollier, M. et Mme Lucien Thivolet, M. et Mme Philippe Tillon, MM. José Trémeaux, Pierre Troton, M. et Mme Robert Vanwolleghem, M. et Mme Yvon Villemagne, Melle Hélène Villié, Mmes Marie-France Vô et Marie-Françoise Vulin.

 

Etaient excusés :

Mme Muriel Berthollet-Jacquemont, M. Robert de Chabanolle, Baron et baronne Charles-Henri de Damas, M. Rambert David de Sauzéa, M. et Mme J. Maurice Dumas, Maître Gisèle Gaillard, M. Noël Gardon, Mme de Garsignies, Mme Félicienne Lavergne, M. et Mme François-Xavier Noir, M. Julien Pons, Mme Pernette Rousset et Mme Sophie Sagnard-Lefebvre.

 

Chevet de l’église de Droiturier

(Cliché Mme Marie Chartre)

 

Châteaumorand (Façade est)

(Cliché M. Edouard Crozier)

Châteaumorand (Façade sud)

(Cliché M. Edouard Crozier)

 

Châteaumorand (Détail Nord-Est)

(Cliché Mlle Sandrine Béal)

 

L’amiral Maridet captivant son auditoire

à Châteaumorand

(Cliché M. Jérôme Sagnard)

 

 

Plan de Châteaumorand au XVIe siècle

(Extrait du Roannais illustré, 1887-1888, page 73).

 

 

 

 

 

Le château de Montaiguët

(Cliché Mlle Sandrine Béal)

 

La Palice , vue d’ensemble

(Cliché Mlle Sandrine Béal)

 

La Palice , angle Nord-Est

(Cliché Mlle Sandrine Béal)

 

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