b) Revenus fonciers, BD, Tome LXVII, Montbrison, 2008.

 


Le patrimoine foncier des curés de la haute vallée du Lignon semble avoir été de bien modeste importance et d’un rapport bien maigre.
Le curé Perrin de Saint-Just-en-Bas avait trois prés lui rapportant l’équivalent de 30 livres annuelles et un chenevier rapportant 3 livres par an. Son homologue de Chalmazel, le curé Claude Guillot, ne possédait qu’un pré d’un rapport annuel équivalent à 40 livres. Celui de Saint-Bonnet-le-Courreau tenait deux petits prés et deux pasquiers lui rapportant annuellement l’équivalent de 60 livres. A Saint-Georges-en-Couzan le curé Ville déclarait posséder quatre coins de terre labourables (deux bons et deux mauvais) d’un rapport de 51 livres  et trois prés pour un revenu estimé à 30 livres. Ce dernier précisait que ses prés lui étaient absolument nécessaires, ainsi que le cheval, dans un endroit ou l’on ne trouve point de fourrages a achetter.


Terrain planté de chanvre.
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